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Miss Lorraine 2017 : Miss France assure le show à Epinal

Le 23 août 2017 par Bruno Veillon
Miss France à Epinal pour l'élection de Miss Lorraine
© B. Decoin

C’est l’événement glamour de la rentrée. A l’occasion de l’élection Miss Lorraine, Epinal accueille Alicia Aylies, Miss France 2017, pour un show mémorable avec ses dauphines. Une belle source d’inspiration pour toutes les jeunes femmes qui espèrent décrocher la couronne. Rencontre.

Alicia, vous avez remporté l’élection Miss France en décembre 2016. Après l’élection, comment vivez-vous l’aventure ?

Alicia Aylies – Je le vis très bien, j’ai commencé les shows Miss France avec mes dauphines il y a peu de temps. C’est une étape de plus dans mon parcours. On passe un super moment, on voyage beaucoup. Je me sens grandie de cette expérience, qui n’est d’ailleurs pas encore terminée !

Quel regard portez-vous sur cette année un peu particulière ?

A. A. – Cette année est pleine de surprises et de rebondissements. En tant que Miss, on fait beaucoup de découvertes, on a accès à des choses que le grand public ne peut pas faire. Je prends conscience de cette chance, ce n’est que du positif.

A 19 ans, vous voyagez beaucoup, vous êtes très médiatisée… Ca vous a aidé à prendre de l’assurance ?

A. A. – Oui, c’est sûr ! J’ai été propulsée dans la vie d’adulte alors que je n’avais que
18 ans, j’ai beaucoup gagné en maturité et je me sens plus à l’aise aujourd’hui.

Lors de l’élection Miss Lorraine, vous venez présenter votre show Miss France, accompagnée de vos dauphines (NDLR : dont Justine Kamara, Miss Lorraine 2016) A quoi doit-on s’attendre ?

A. A. – Pour les shows Miss France, on se déplace près de 20 fois lors des élections régionales. Celui-ci sera bien particulier, avec des thèmes qui nous représentent. A nous quatre, on forme un très beau groupe, il y a une bonne ambiance entre nous. Avec Justine, on s’entend très bien depuis le début de l’aventure Miss France. Ce show permet de nous réunir une nouvelle fois. Ce sera un très beau spectacle, plein de surprises !

Quels conseils aimeriez-vous donner à ces jeunes femmes qui tentent Miss Lorraine et espèrent décrocher la couronne Miss France ?

A. A. – Je leur conseille tout simplement de profiter de l’aventure, même au niveau régional parce que ça passe vite. Même celles qui ne gagneront pas auront acquis de l’expérience, rencontré des personnes qui pourront leur ouvrir des portes. Elles vont aussi se faire des amis. Je trouve que ça aide beaucoup à prendre confiance en soi.

Quelles sont les principales qualités à avoir pour obtenir ces concours ?

A. A. – Déjà, il faut réussir à séduire le public et le jury. Bien sûr, l’aspect physique joue, mais il faut surtout être à l’aise. Si elles sont bien dans leur tête, ça va se voir sur scène. C’est avant tout une question d’attitude.

Qu’est-ce qui vous a le plus marqué depuis votre élection ?

A. A. – Je dirais mon retour en Guyane, j’en reviens tout juste. C’est là que j’ai enfin pu fêter mon élection avec tous ceux qui m’ont encouragées, qui me suivent depuis le début, et bien sûr avec ma famille et mes amis aussi. Le fait de retourner chez soi, que tout le monde fête ce moment avec moi, c’était très impressionnant et émouvant.

Vous êtes la première Miss Guyane à remporter le titre Miss France. C’est un symbole pour vous ?

A. A. – Oui, c’est une grande fierté car c’était la première fois, c’est une élection qui a marqué l’histoire des Miss en Guyane. J’ai reçu beaucoup de messages sur les réseaux sociaux, de jeunes femmes qui souhaitent s’inscrire. En Guyane, un appel à candidatures vient d’être lancé : il y a eu de nombreuses demandes alors que c’est parfois compliqué d’avoir des candidates.

Miss France, ce n’est pas juste un concours de beauté, vous soutenez aussi des associations. Quelles sont les causes qui vous tiennent à cœur  ?

A. A. – Je m’occupe de la réinsertion des jeunes et des personnes à mobilité réduite au sein du sport, avec l’association Les Bonnes Fées. Je suis la marraine de deux jeunes femmes qui font de l’épée et qui veulent atteindre le niveau professionnel. On finance leur année, leur équipement, les compétitions. On a également permis à dix jeunes femmes en foyer de faire de l’escrime pendant un an. Comme j’ai fait de l’escrime auparavant, c’est une action qui me touche particulièrement.

Vous allez prochainement participer au concours Miss Univers. Est-ce très différent de Miss France ?

A. A. – C’est un concours américain, il y a au moins 86 filles : c’est beaucoup plus que pour Miss France. Il va falloir se démarquer très rapidement. Le fait que Iris Mittenaere (NDLR : Miss France 2016 et Miss Univers 2016) ait gagné cette année m’aidera, car je pourrai profiter de son expérience et de ses conseils.

Avez-vous d’autres projets par la suite ?

A. A. – Je n’ai pas encore décidé pour l’instant. J’ai plusieurs possibilités, mais je n’ai pas encore d’idée fixe. Je pourrais être intéressée par le mannequinat par exemple. Etre Miss France, ça ouvre des portes dans de nombreux domaines !

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