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Trophée Andros : le gratin des pilotes sur la glace du Géoparc

Le 19 janvier 2012 par Bruno Veillon
© Le Géoparc de Saint-Dié-des-Vosges accueille, samedi 21 janvier, une nouvelle étape du Trophée Andros, la cinquième au total après 2005, 2007, 2010 et 2011.

La célèbre épreuve automobile sur glace s'arrêtera dans les Vosges pour son avant-dernière manche. Avec une grande nouveauté cette année : des courses en nocturne. Présentation.

Créé en 1990, après la rencontre entre l'ancien pilote Max Mamers, champion de France des rallyes 1982 et 1983, et Frédéric Gervoson, le PDG de la société agro-industrielle spécialisée dans la transformation des fruits et laitages qui lui a donné son nom, le Trophée Andros est devenu une épreuve majeure pour les passionnés de sport mécanique.

Un véritable défi

Même si des étapes ont déjà été organisées en Andorre ou à Sheerbrooke (Canada), cette épreuve automobile sur glace se court essentiellement dans les stations de ski françaises bénéficiant d'un anneau capable d'accueillir une trentaine de voitures. 

Dans les Vosges, La Bresse a accueilli le trophée à 5 reprises et Xonrupt-Longemer 3 fois. Mais depuis 2005, c'est vers le site du Géoparc à Saint-Dié-des-Vosges, spécialement construit pour accueillir l'événement, que les organisateurs du Trophée Andros ont choisi de se tourner. 

" Nous avons eu l'idée de créer un grand circuit pouvant accueillir l'une des étapes de la série de course automobile sur glace, explique l'organisateur vosgien, Arnaud Hildenbrand. Saint-Dié n'est pas une station de ski et la ville n'est pas suffisamment élevée pour garantir un circuit enneigé naturellement, comme c'est le cas des autres sites inscrits au calendrier. Nous avons, donc, eu l'idée de créer une véritable patinoire pour sport automobile, réalisée sur le même type que les patinoires traditionnelles. C'était un véritable défi car il n'en existe aucune dans le monde de cette taille.Mais nous avons réussi à le relever et les pilotes sont toujours ravis de venir dans les Vosges. C'est une glace très dure, donc plus glissante et plus constante dans la durée. L'accumulation des courses sur une journée use la glace sur les autres circuits. Nous, nous travaillons pour qu'elle reste la même toute la journée ".

Le Géoparc de Saint-Dié-des-Vosges accueille, samedi 21 janvier, une nouvelle étape du Trophée Andros, la cinquième au total après 2005, 2007, 2010 et 2011.

La célèbre épreuve automobile sur glace s’arrêtera dans les Vosges pour son avant-dernière manche. Avec une grande nouveauté cette année : des courses en nocturne. Présentation.

Créé en 1990, après la rencontre entre l’ancien pilote Max Mamers, champion de France des rallyes 1982 et 1983, et Frédéric Gervoson, le PDG de la société agro-industrielle spécialisée dans la transformation des fruits et laitages qui lui a donné son nom, le Trophée Andros est devenu une épreuve majeure pour les passionnés de sport mécanique.

Un véritable défi

Même si des étapes ont déjà été organisées en Andorre ou à Sheerbrooke (Canada), cette épreuve automobile sur glace se court essentiellement dans les stations de ski françaises bénéficiant d’un anneau capable d’accueillir une trentaine de voitures. 

Dans les Vosges, La Bresse a accueilli le trophée à 5 reprises et Xonrupt-Longemer 3 fois. Mais depuis 2005, c’est vers le site du Géoparc à Saint-Dié-des-Vosges, spécialement construit pour accueillir l’événement, que les organisateurs du Trophée Andros ont choisi de se tourner. 

” Nous avons eu l’idée de créer un grand circuit pouvant accueillir l’une des étapes de la série de course automobile sur glace, explique l’organisateur vosgien, Arnaud Hildenbrand. Saint-Dié n’est pas une station de ski et la ville n’est pas suffisamment élevée pour garantir un circuit enneigé naturellement, comme c’est le cas des autres sites inscrits au calendrier. Nous avons, donc, eu l’idée de créer une véritable patinoire pour sport automobile, réalisée sur le même type que les patinoires traditionnelles. C’était un véritable défi car il n’en existe aucune dans le monde de cette taille.Mais nous avons réussi à le relever et les pilotes sont toujours ravis de venir dans les Vosges. C’est une glace très dure, donc plus glissante et plus constante dans la durée. L’accumulation des courses sur une journée use la glace sur les autres circuits. Nous, nous travaillons pour qu’elle reste la même toute la journée “.

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