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Essai supp formation

Le 18 février 2013 par Bruno Veillon

Redac

prochaine l’association “SOS Papa et d’autres associations de défense des droits des pères”, a indiqué Matignon dimanche, qui dit suivre le dossier avec la plus grande attention. 

“REVENIR DANS UN PROCESSUS NORMAL”

Serge Charnay a annoncé lundi à l’AFP qu’il allait descendre après la réunion d’associations avec la ministre de la justice, “sauf si vraiment il y avait des imprévus pour d’autres raisons” a-t-il prévenu. “Je vais revenir dans un processus normal”, a également assuré M. Charnay, après une troisième nuit passée dans une grue située dans le secteur des anciens chantiers navals de la ville. Il a indiqué qu’il souhaitait “prendre contact” avec son avocat, “étudier les propositions de logement et aussi juridiques qui m’ont été faites”, tout en soulignant qu’il se méfiait du fonctionnement de l’institution judiciaire.

“Je ne regrette absolument pas” d’avoir emmené mon fils “l’année dernière deux mois en Ardèche, car sinon je ne l’aurais pas vu”, a-t-il encore expliqué. Dans un communiqué adressé à l’AFP, révélant une série d’éléments graves attribués au père, l’avocate de la mère de l’enfant, né en 2006, avait fait état de deux soustractions d’enfant – l’une de 15 jours en 2010 et une seconde de deux mois et demi en 2011 –, ainsi que de propos menaçants de Serge Charnay à l’égard de la mère de son fils. Selon elle, à la suite de ces soustractions, “la cour d’appel de Rennes a suspendu le droit d’accueil du père”.

Le préfet de Loire-Atlantique, Christian Galliard de Lavernée, avait également renouvelé dimanche la proposition des autorités permettant au père de déposer lundi matin “une requête expresse au tribunal pour réexaminer sa situation”. “Un avocat sera à sa disposition au tribunal”, avait assuré le préfet.

FAIT DES ÉMULES

Son initiative fait des émules. Un autre père, d’une trentaine d’années, qui se plaint d’être privé de tout contact avec son fils depuis trois ans, s’est ainsi retranché pendant deux heures dimanche matin en haut d’une grue à Strasbourg, avant de redescendre de lui-même après intervention de la police.

A Saintes (Charente-Maritime), un homme de 41 ans, lui aussi mécontent d’un jugement relatif à la garde de son enfant, est monté dans la nuit de samedi à dimanche s

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