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Les handballeurs spinaliens se neutralisent face à Folschviller

Le 15 décembre 2013 par Bruno Veillon

C’était le choc tant attendu en Nationale 2, la confrontation entre les deux favoris pour la montée en N1 a tenue toutes ses promesses mais n’a pas donné beaucoup d’enseignements. Match nul entre Epinal et Folschviller (36-36).

Aucun des deux camps n’étaient satisfait du résultat final, ce samedi 14 décembre, à la suite du match nul concédé par le Epinal HB face au leader de N2, Folschviller. Pourtant bien en jambe et appliqués, les spinaliens ont fait jeu égal avec leur adversaire direct pour la montée en N1, tout au long de la partie, de quoi rendre perplexe l’entraîneur des locaux, Marc Collas

“Nous sommes dans une période plus compliquée actuellement, après l’élimination en Coupe de France. Tout le monde au club reste concentré sur l’objectif mais une victoire ce samedi aurait fait du bien. Nous n’avons pas perdu et nous restons dans la course. Il faut rester positif”, saluait-il.

Concentrés et appliqués en début de partie, les handballeurs des deux camps se rendaient coup pour coup dans les 10 premières minutes de la partie. “On sentait que le match aurait pu basculer d’un côté comme de l’autre“, temporisait après coup l’autre technicien spinalien Alexandre Scheubel.

Il faudra attendre le premier quart d’heure de jeu pour voir les spinaliens concéder 7 buts de débours au maximum (7-14) avant le réveil local grâce à deux arrêts successifs de Yannick Birckel, parfait sur sa ligne. Jusqu’au retour des spinaliens en fin de première mi-temps, à 3 buts de leur adversaire du soir (17-20).

A l’image de la première période, la seconde sera encore plus équilibrée puisque le Epinal HB réussira à recoller à la marque, s’offrant même le luxe de repasser devant Folschviller à la 50e minute (31-30). 

A cet instant, tout le Palais des sports d’Epinal se prend à rêver d’un hold-up mais c’était sans compter les forces vives adverses qui réussiront toujours à revenir à la marque. Ils s’offriront l’égalisation (36-36) à l’ultime seconde de la partie, reportant au match retour l’occasion d’offrir un avantage certain à la montée, à l’équipe victorieuse.

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